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Des parents de Memphis dans le Tennessee pleurent la perte de leur petite fille Ja’Liyah Cortize Turner, après qu’elle soit décédée pendant son sommeil moins de quatre jours après avoir reçu 7 vaccins. Sa maman Quavia s’est sentie pressée de faire vacciner sa petite fille bien qu’au fond d’elle-même, elle ne le voulait pas parce que sa petite fille avait déjà fait une mauvaise réaction après la première série de vaccins.

L’autopsie de Ja’Liyah ne mentionne pas les vaccins bien qu’elle avait toujours des nodules sur ses jambes aux différents sites d’injection. La cause de son décès a été qualifiée : « cause inconnue, non déterminée ». Le rapport d’autopsie précise qu’il n’y avait aucun antécédent médical important qui aurait pu contribuer à sa mort. Pourtant, il est très important que Ja’Liyah venait de recevoir 7 vaccins quatre jours plus tôt.

Le Tennessee est classé en troisième place pour avoir les taux de mortalité infantile parmi les plus élevés des Etats-Unis [1]. Le CDC, ainsi que les fabricants de vaccins admettent que des réactions allergiques meurtrières et la mort peuvent résulter de l’administration de n’importe quel vaccin [2]. Quand des enfants reçoivent plusieurs vaccins au cours d’une visite chez le pédiatre, comme ce fut le cas pour Ja’Liyah, cela peut augmenter le risque de faire une réaction mortelle à la suite d’une stimulation excessive d’un système immunitaire insuffisamment développé. [3]

Le risque qu’une personne puisse faire une mauvaise réaction au vaccin est plus important si la personne en question est porteuse de certains gènes qui les rendent plus sensibles aux dommages que peuvent causer les vaccins ou s’il existe une maladie sous-jacente au moment de la vaccination [4]

Les nourrissons Afro-Américains et Amérindiens souffrent deux à trois fois plus souvent du syndrome de la mort subite du nourrisson que les autres bébés. [5] Ja’Liyah est née de parents Afro-Américains et Américains. Cette origine ethnique suggère qu’elle avait une probabilité plus élevée de porter un gène spécifique associé à un risque accru de dommage vaccinal. Ses parents ne possédaient malheureusement pas cette information.

On trouve des groupes sensibles dans tous les types de populations. Le dépistage génétique avant ces visites pédiatriques au cours desquelles de nombreux vaccins sont administrés devraient être une priorité absolue. Plutôt que de financer des études qui aideraient à dépister ces enfants avant qu’ils ne soient vaccinés dans les délais prévus, le CDC a déployé tous ses efforts pour mettre fin à plusieurs études destinées à identifier les individus à risque. [6]

L’ancienne directrice de l’Institut National de Santé (NIH), le Dr Berdadine Healy, a fait part de ses préoccupations sur la limitation des recherches parce qu’il est vraiment nécessaire de protéger les enfants qui peuvent être vulnérables aux divers vaccins.[7]

La vie de Ja’Liyah nous a été enlevée beaucoup trop tôt. Quavia veut partager avec nous ce qu’a été la vie de sa famille après qu’elle ait perdu sa petite fille. Elle voudrait pouvoir fermer ce chapitre de sa vie, mais veut  cependant continuer à informer les autres par rapport à cette terrible vérité, à savoir que les dommages vaccinaux   sont camouflés par les officiels de santé, pour faire croire que les vaccins sont plus sûrs qu’il n’apparaît.

« Nous pensions qu’en la faisant vacciner, nous la protégions »

Quavia raconte ce qui est arrivé à sa famille :

« Quand ma petite fille est née le 29 novembre 2013, elle pesait 5 livres et 6 onces. Le vaccin contre l’hépatite B lui a été administré immédiatement après sa naissance. J’ai tout enregistré sur vidéo et ça me fait hurler quand je revois ces images.

A la visite médicale de deux mois, on lui a administré 8 vaccins. (DTCa, Polio,Hib, Hépatite B, Prevenar (pneumocoques), ainsi que le vaccin contre le Rotavirus. Tout cela se passait le 29 janvier 2014. Après la visite chez le médecin, elle a fait une forte fièvre mais n’a pas reçu des médicaments contre la douleur, parce qu’elle était trop jeune. Sur les nodules qu’elle avait sur ses jambes aux endroits où les vaccins avaient été injectés, j’ai mis des serviettes chaudes. Je l’ai finalement emmenée aux urgences. Personne n’a pu me dire ce que représentaient ces symptômes et que de nouveaux vaccins ne pourraient pas empirer son cas. On me précisa qu’il s’agissait de réactions normales et que je ne devais pas m’inquiéter.

Un mois et demi plus tard quand Ja’Liyah avait 3 mois et 1/2, il ne m’a plus été possible de l’allaiter. Ca m’inquiétait beaucoup. Nous avons dû lui donner du lait en poudre pour bébés.

Inconsciente comme j’étais, j’ai écouté les conseils du médecin qui lui a administré 7 vaccins au cours de la visite du 14 avril 2014. Elle a reçu le DCaT (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche, Hib, le vaccin contre le pneumocoque (PCV), ainsi que le vaccin contre le Rotavirus. »

« Après la visite médicale, elle a été difficile. Elle souffrait mes mêmes réactions qu’à la première série de vaccinations. Je l’ai emmenée aux urgences la nuit qui a suivi parce qu’elle commençait à nouveau à faire une forte fièvre. Le personnel soignant nous a dit que c’était normal et nous a renvoyés à la maison. On ne lui a pas administré des médicaments contre la douleur parce qu’elle était trop jeune. Sa fièvre est finalement tombée. Je continuais à lui mettre des compresses chaudes sur les nodules, là où les vaccins avaient été injectés. Quelques jours plus tard, elle a semblé aller mieux, elle était pratiquement normale, mais les nodules étaient toujours présents sur ses jambes.

Trois jours après qu’elle ait reçu ses vaccins, nous avons pris le repas et un peu joué. J’ai alors changé ma petite fille, je l’ai nourrie et suis allée la mettre au lit ; elle s’est de suite endormie. Le vendredi matin, vers 7 heures je l’ai de nouveau changée et nourrie. Elle a pris le biberon et a souri. Je l’ai ensuite déposée dans son lit, puis nous sommes de nouveau allés dormir. Ce fut la dernière fois où je vis mon amour vivante…

Etant entrée dans la chambre et voyant que les enfants dormaient toujours profondément, j’ai décidé de brosser, laver et de me préparer pour notre déménagement. Nous étions prêts à changer de maison parce que la nôtre devenait trop petite.

Aux environs de 19 heures, je me suis rendue dans la chambre des enfants. Pensant que Ja Liyah était réveillée. Quand d’habitude je m’assieds sur le bord du lit, elle commence à s’agiter, mais cette fois-ci, elle ne bougeait pas. Je lui ai caressé la tête, mais ne répondait toujours pas. Je l’ai bien regardée parce qu’il me semblait que quelque chose ne tournait pas rond du tout. J’essayais de voir les mouvements de sa respiration, mais rien ne bougeait Je me rappelle tout juste avoir hurlé : ma petite est partie, elle est partie…

Je me rappelle bien les hurlements de son petit frère Duke. Je me rappelle que son papa Jarvis est entré dans la chambre, l’a prise dans ses bras en essayant de la réanimer pendant que j’essayais d’essuyer sa bouche et son nez. Il y avait un mélange de liquides épais et du sang qui sortait de sa bouche, de son nez et même de ses oreilles. Je l’essuyai pendant que mon mari tentait toujours de la réanimer. Bien que nous tentions constamment de l’essuyer, les mêmes liquides continuaient à couler, nos habits en étaient tout tachés.

J’ai appelé le 911. Il a semblé qu’il leur a fallu une éternité pour arriver. Quand ces ambulanciers sont arrivés, ils ont mis ma petite par terre. J’étais terriblement choquée. Je me souviens de l’expression des visages de mon mari et de mon fils quand les infirmiers nous ont dit que nous ne pouvions pas accompagner Ja Liyah à l’hôpital. Elle a dû partir toute seule à l’hôpital…

Ma petite fille a reçu ses vaccins de 4 mois lundi 14 avril 2014 et elle est morte très tôt le matin du vendredi 18 avril 2014. Vraiment, quand tout cela est arrivé, je ne savais pas ce qui s’était passé. J’ai fait l’objet d’une inspection pour voir s’il n’y avait pas quelque chose de louche. Ils ont affecté une aide sociale à notre famille pour s’assurer que tout était en ordre. Tout cela ne m’a pas beaucoup plu car une de leurs premières questions fut de me demander si mon fils était en sécurité. Un peu comme laisser entendre que nous avions quelque chose à voir avec la mort de La Liyah. Ils cherchaient apparemment à blâmer quelqu’un et nous ont demandé si nous n’avions pas fait de mal à notre fils.

Ce sont des choses que je ne tolère pas. Ils ne m’ont heureusement rien pris. Ils ont posé des tas de questions et pris des photos. Tous ceux qui nous connaissent savent que nous somme de bons parents.

L’autopsie a été réalisée le lendemain de son décès, le 19 avril 2014. Après que son corps soit revenu aux pompes funèbres, j’ai voulu voir Ja’Liyah. J’ai demandé au directeur de pouvoir la voir. Il fallait que je la voie. Ca m’a brisé le cœur de la voir comme cela. On lui avait placé des boules de coton dans le nez et son teint s’assombrissait.

La cause de sa mort fut déclarée inconnue, indéterminée. Les vaccins qu’on venait de lui administrer n’étaient même pas mentionnés dans le rapport, ni sa visite aux urgences, ni les réactions qu’elle avait eues après le vaccin. Le rapport précisait  qu’il n’y avait aucun antécédent médical qui soit significatif. Toutes ces informations avaient cependant bel et bien toute leur importance. Néanmoins elles furent volontairement ignorées. »

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« Le médecin légiste m’a expliqué que le syndrome de mort subite du nourrisson est un peu là pour camoufler certaines choses, pour donner un nom à ce que l’on ne connait pas ou ne comprend pas. Il me précisa que la petite avait dû quitter ce monde comme si elle sortait de chez elle. Elle s’est simplement endormie. Il m’a dit que son décès avait été classé comme syndrome de mort subite du nourrisson, mais que ce syndrome n’existait pas. C’est juste un vocable destiné à quelque peu apaiser les gens qui ne savent pas.

A partir de cette époque j’ai commencé à chercher et à chercher pour finalement trouver. J’ai appris pourquoi on n’avait pas parlé des vaccins dans son rapport d’autopsie. J’ai appris que c’était l’habitude de ne pas mentionner les vaccins dans les rapports d’autopsie, bien que de nombreux bébés meurent après avoir été vaccinés. Il y a tellement de parents qui en parlent, et qui ont vécu le même drame.

Le rapport signale que ma petite fille n’avait aucun précédent médical important. Comment pareille chose est-elle possible alors que l’on venait de lui administrer 7 vaccins ? Le fait que Ja Liyah ait reçu 7 vaccins quelques jours plus tôt était en lui-même une information très importante et significative. Quand j’ai lu les notices des vaccins, on y mentionne la mort subite du nourrisson, des décès, des allergies, des chocs anaphylactiques, de même qu’une liste d’autres effets secondaires. Dans notre cas, on ne parlait même pas des vaccinations !!

J’ai finalement senti que tout cela était de ma faute. Après les réactions qu’elle avait eues à la suite de ses vaccinations de deux mois, je n’ai plus voulu faire le moindre vaccin, point. Je me suis dans la suite finalement sentie intimidée. Je me suis interrogée sur les vaccins et me suis finalement dit que rien ne se passerait. J’avais cependant une amie qui ne vaccine pas et qui m’a recommandé de ne pas le faire. Ma mère qui est naturopathe m’a aussi recommandé de ne pas faire cette vaccination parce qu’elle avait précédemment fait des recherches sur la question. Mais je n’ai pas voulu écouter !!

J’ai voulu me persuader que je faisais la meilleure chose qui soit. Au Tennessee, on a l’habitude de juger indignes les personnes qui ne se font pas vacciner. On tente de vous faire croire que vous n’avez pas le choix de faire ou non vacciner vos enfants. Si vous refusez, on menace de vous prendre vos enfants parce que les gens autour de vous vous considèrent comme une mère indigne.

Je me suis vraiment sentie très mal. Je sentais que je risquais d’agir à l’encontre de mon propre jugement et finalement j’ai donné aux médecins la priorité par rapport à ce que je sentais profondément.

On a finalement compris qu’on nous avait menti. On pensait pouvoir protéger nos enfants pour qu’ils ne deviennent pas des rats de laboratoire. Il nous aurait fallu comprendre avant que tout ce malheur nous tombe dessus. Une partie de moi avait cependant cru bien faire avant que le malheur n’arrive.

Ma vie est maintenant devenue un combat perpétuel. Quand je suis au pied de sa tombe, je ne puis m’empêcher de la voir vivante près de moi et pas à six pieds sous terre. Je donnerais tout ce que j’ai pour pouvoir encore, une seule fois, jouer avec elle. Il y a une chose qui ne devrait arriver à aucune maman au monde : célébrer le premier anniversaire de sa petite fille, alors qu’elle a disparu. »

Le pédiatre de Ja’Liyah admet que plusieurs bébés meurent chaque année

Quavia consultait toujours le même pédiatre pour ses enfants. Son fils Duke a reçu les six vaccins que proposait le programme officiel. L’histoire médicale de Duke révèle qu’il souffrait de problèmes de santé qui se trouvaient repris dans la notice du vaccin sur la liste des risques. Mais aucune remarque ne fut faite. Et on n’en tint pas compte.

Si des médecins avaient informé Quavia l’avaient informée que les problèmes de santé de son fils pouvaient être mis en relation avec les vaccins, comme repris sur la notice, elle aurait arrêté les vaccinations et elle n’aurait pas vacciné sa petite fille. Elle aurait pu sauver sa vie.

Les médecins doivent s’interroger sur ce qu’on leur apprend au cours de leurs études. S’ils veulent véritablement connaître la vérité, ils doivent poursuivre leurs recherches au-delà de ce qui leur est enseigné et des études qui sont financées par l’industrie pharmaceutique qui a intérêt à faire vendre ses produits.

La vérité sur les dangers des vaccins n’est pas révélée au public, et les pédiatres qui n’ont pas poussé plus loin leur propre recherche continueront à vacciner et à prétendre que ces vaccins n’auront que très rarement des effets secondaires. Pourtant, on sait que les dommages vaccinaux ne sont pas rares.

Bien que le pédiatre de Ja’Liyah n’ai jamais infirmé ou confirmé que la mort de Ja’Liyah ait été causée par le vaccin, il n’a cependant jamais arrêté de vacciner, mais a commencé à respecter le choix des parents de vacciner ou pas. Ce même médecin a finalement admis que, dans sa clientèle, au moins trois nourrissons meurent chaque année de la mort subite du nourrisson.

Quavia déclarent qu’ils ne vaccineront jamais plus leurs enfants après avoir perdu leur petite fille à la suite des vaccins. Tout simplement parce que les officiels de la santé camouflent tous ces décès et font tout pour éviter qu’il soit fait mention de vaccins dans le rapport d’autopsie. Alors que pour Ja Liyah la cause la plus plausible de son décès, ce sont les vaccins.

Les victimes de la vaccination doivent alerter le monde

Bien que décédée, Ja Liyah aura bien contribué à alerter le monde. Elle a figuré parmi photos de victimes des vaccinations devant le parlement de Californie au cours d’une manifestation contre le projet de loi SB277 qui vise à supprimer les exemptions et rendre les vaccinations obligatoires. Si cette loi devait passer, les parents verraient leurs droits civils violés, leur liberté de choix supprimée et la tyrannie médicale serait en bonne voie.

Dernier mot de la maman

« J’ai voulu raconter mon histoire pour que tous les parents du monde puissent ressentir la douleur que nous avons éprouvée. Je puis vous assurer que plus aucun de nos enfants ne sera vacciné.

Le sourire et toutes les attitudes de Ja Liyah me manquent énormément. Je suis tellement triste de ne pas pouvoir la voir courir dans la maison, jouer avec ses frères, être prise dans les bras de son père. Je voudrais tellement pouvoir l’habiller, la coiffer. Elle était mon amour et ma lumière. »

Ja’Liyah Cortize Turner

29 novembre 2013 – 18 Avril 2014

Décédée à l’âge de 4 mois, moins de 4 jours après avoir reçu 7 vaccins

 

Sources:http://health.state.tn.us/statistics/PdfFiles/IMreport_2014.pdf

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